Je voulais juste rentrer chez moi |
Auteurs | Dils, Patrick (Auteur) Aboab, Karen (Editeur Intel.) |
Edition | J'ai lu : Paris , 2003 |
Collection | J'ai lu N°6242 |
Collation | 220 p. |
Illustration | couv. ill. en coul. |
Format | 18 cm |
indice Dewey | 347.440 12920 |
ISBN | 2-290-33415-4 |
Prix | 4,50 EUR |
Langue d'édition | français |
Sujets | Dils, Patrick(1970-....) -- Biographies Vécue Prisons -- france -- Récit personnel |
Catégories | B |
Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0 | |
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Notes : La couv. porte en plus : "un innocent incarcéré pendant 15 ans"
Avril 2002. Après quinze ans de détention, Patrick Dils sort innocenté de prison. Il est alors âgé de 31 ans. Condamné à la réclusion à perpétuité pour avoir avoué le meurtre de deux enfants, il n'a cessé de clamer son innocence. L'adolescent perdu qu'il était lors de son arrestation s'est retrouvé pris dans un engrenage. Des aveux extorqués par la police, des détails omis, un procès mal mené, et il se retrouve confronté à l'horreur de la prison. A une période essentielle pour la construction de sa personnalité, Patrick Dils a dû faire face à la maltraitance et à l'humiliation régissant l'univers carcéral. Dans ce récit dénonciateur au ton grave et poignant, Patrick Dils raconte sans haine comment il a fait l'objet de ce que son avocat appelle " la plus grave erreur judiciaire du siècle ".
Avril 2002. Après quinze ans de détention, Patrick Dils sort innocenté de prison. Il est alors âgé de 31 ans. Condamné à la réclusion à perpétuité pour avoir avoué le meurtre de deux enfants, il n'a cessé de clamer son innocence. L'adolescent perdu qu'il était lors de son arrestation s'est retrouvé pris dans un engrenage. Des aveux extorqués par la police, des détails omis, un procès mal mené, et il se retrouve confronté à l'horreur de la prison. A une période essentielle pour la construction de sa personnalité, Patrick Dils a dû faire face à la maltraitance et à l'humiliation régissant l'univers carcéral. Dans ce récit dénonciateur au ton grave et poignant, Patrick Dils raconte sans haine comment il a fait l'objet de ce que son avocat appelle " la plus grave erreur judiciaire du siècle ".
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